Cours de yoga le lundi soir et le mardi matin !

– Aude Vilcot, animera des cours de yoga Kundalini le lundi de 19h à 20h30
Renseignements au 07 82 77 92 48, aude.yoga.kundalini@gmail.com et www.unehistoiredesoeurs.com

– Geneviève Gidel animera des cours de Hatha yoga le mardi de 10h30 à 11h30
Renseignements au 06 04 43 92 33 et geugeudu63@gmail.com

– À PROPOS DU YOGA KUNDALINI :
​Le yoga Kundalini est un yoga qui mobilise le corps par la répétition de mouvements simples, mais aussi par le son, le chant de mantras et la respiration. Tout cela dans le but de faire circuler l’Énergie vitale dans votre corps.
Cette pratique ne requiert pas de niveau ni de conditions physiques particulières. Elle est ouverte à toutes et tous, sans distinction d’âge. Venez découvrir ce yoga qui renforce profondément vos muscles et votre système immunitaire, améliore vos capacités respiratoires et vous donne les outils pour transformer votre état d’esprit.

Aude pratique cette forme de yoga depuis 2015 et l’enseigne depuis 2019. C’est toute une écoute du corps qu’elle met à votre service lors de ses cours, pour que votre pratique soit profonde et sécurisée.

– À PROPOS DU HATHA YOGA :
Geneviève a suivi une formation de 5 ans à la FFHY (Fédération Française de Hatha Yoga) qui donne un enseignement de qualité, et a obtenu son diplôme en 2017. Elle continue à suivre des stages et à pratiquer régulièrement avec des professeurs de la fédération. Vous pouvez prendre votre adhésion pour soutenir la FFHY et ainsi recevoir des informations de la revue « NAMASKAR ».

BALADE EN FOREZ, exposition de peintures

Cet été du 2 au 12 août 2023, mercredi, jeudi, samedi de 15h à 19h, le peintre Philippe Brihat expose à la Maison du Pont, au Pont de Celles son travail de paysagiste miniaturiste.

Il vous invite à une balade dans les monts du Forez qu’il fréquente depuis son enfance, de Vollore Ville à Vollore Montagne,

d’Augerolles à Aubusson d’Auvergne, de Courpière à Noirétable.

Avec une palette riche de nuances, il capte la lumière et ses variations à travers les saisons.

Grâce à une touche précise et minutieuse imposée par le format miniature,

il transfigure la beauté précieuse des paysages humbles et secrets des monts du Forez.

Exposition visible les mercredi, jeudi et samedi, de 15 heures à 19 heures du 2 au12 août 2023 à la maison du pont, au Pont de Celles, 63250.

Philippe Brihat sera heureux de vous accueillir durant les heures d’ouverture de l’exposition.

« je parle de si loin … je parle de si près … » 20 mai au 22 juin 2023

Exposition photographique de Djamel Fares
« je parle de si loin … je parle de si près … »
Du 20 mai au 22 juin 2023
Mercredi, jeudi, samedi, 15h > 19h
Vernissage samedi 20 mai à 18h30

je parle de si loin …

je parle de si près …

photographies djamel farès textes laurence grùnd

On ne se demande plus si les images parlent d’elles-mêmes ou bien si elles suscitent la parole. Elles envahissent notre espace. L’époque multiplie les images à l’infini.
Elles gardent cependant un destin particulier aux photographies, ces images que l’on trouve dans les albums de famille, sur les murs des villes, sur les cartes d’identité, sur les écrans des portables.

Cette exposition ne prétend pas à autre chose qu’à proposer un itinéraire dans le temps d’un artiste qui, pendant 50 ans nourrit sa mémoire en arpentant les chemins qui s’ouvraient devant lui, au hasard des rencontres.

Djamel Farès franchit, il y a presque six décennies, la mer Méditerranée sans jamais vraiment abandonner l’autre rive. Un jour, la naissance d’une petite fille le conduisit en Bretagne où il vit aujourd’hui, sans, pour autant oublier l’Auvergne dont les reliefs, l’architecture et les gens évoquent sa Kabylie natale. Au milieu de sa vaste moisson de photographies, il se plaît à côtoyer au plus près ses semblables qui lui racontent tant de ce qu’ils sont, de ce qu’il est.

Loin de l’image traditionnelle du reporter intrépide avec son chapeau de brousse et de ses appareils en bandoulière, ce photographe-là s’attarde le long des petites et grandes histoires qui le promènent de la Suède au Chili, de la Mecque au Sahara Occidental, de l’événementiel au rituel, de l’enfance à la vieillesse, des planches du théâtre aux manifestations populaires. Il y rencontre des gens, surtout des gens avec lesquels

il bavarde longuement, à maintes et maintes reprises et qui s’étonnent : « …et les photos, on les fait quand ? ».

Les photographies présentées ici semblent ne pas suivre une logique ni un thème précis. Elles ne sont qu’un geste d’hospitalité comme le pain et le sel que, dans certaines cultures, on offre à celui qui arrive. Elles pourront paraître un choix personnel, mais elles constituent une invitation au partage, à se reconnaître dans un geste, une scène, un regard, une rencontre. Elles tissent et retissent le lien entre l’espace et le temps, entre les femmes et les hommes, d’ici et d’ailleurs, entre le passé et l’avenir.

Elles donnent à regarder un monde qui n’en finit pas de se construire et d’espérer.

djamel farès, photographe

Le Rochou – 22290 Tressignaux Chabany – 63120 Sainte-Agathe

L’ Afrique s’habille en raphia du 22/03 au 13/05/2023, conférence 18/04/23 à 20h30

VERNISSAGE VENDREDI 24 MARS À 18h30
DU 22 MARS au 13 MAI 2023
MERCREDI, JEUDI, SAMEDI 15h à 19H

MARDI 18 MARS à 20h30  » LE RAPHIA, UN TEXTILE ETONNANT » CONFERENCE DE LOUIS DUBREUIL, COLLECTIONNEUR

Une exposition qui aura de l’étoffe, avec d’immenses pièces textiles raphia, toutes plus colorées et surprenantes les unes que les autres, qui tomberont du ciel de la maison du pont, suspendues à des bâtons de bambous …
Ces pièces proviennent du Congo, Cameroun, Côte d’Ivoire et elles datent du début XXème siècle.

MARDI 18 MARS à 20h30  » LE RAPHIA, UN TEXTILE ETONNANT » CONFERENCE DE LOUIS DUBREUIL, COLLECTIONNEUR

L’AFRIQUE S’HABILLE EN RAPHIA

Le Raphia est un palmier portant de grandes feuilles. On tire de la face inférieure de ces feuilles des fibres textiles qui sont utilisées en Afrique selon plusieurs techniques différentes selon les ethnies, pour la parure et les vêtements.
Cette exposition montre des textiles en raphia provenant principalement du bassin du Congo et de Côte d’Ivoire. La variété des techniques de tissage et de teintures est remarquable.
Toutes ces pièces proviennent de la collection de textiles ethniques constituée au fil des ans par Louis Dubreuil, paysagiste de métier, qui est très sensible à la dimension plastique et esthétique de l’art des peuples du monde entier, et en particulier dans le domaine des textiles et des étoffes.

LOUIS DUBREUIL, collectionneur.
Louis Dubreuil est venu à la profession de paysagiste concepteur par l’intermédiaire d’études d’agronomie. Il a été membre fondateur, avec quatre autres professionnels de l’urbanisme, de l’architecture et du paysage, du bureau d’études SYCOMORE, à Clermont-Ferrand.
Il a été frappé assez tôt par l’étrange virus de la collectionnite et a du déménager plusieurs fois pour cause d’encombrement de ses collections ! Son goût pour les textiles ethniques et les tapis lui est venu au contact de Christine Bouilloc qui dirige le Musée des textiles de Clermont-Ferrand, et grâce aux magnifiques expositions qu’elle a organisées depuis des années au Musée Lecocq.
Le raphia occupe une part importante des collections de Louis Dubreuil en compagnie d’autres matériaux aussi « exotiques » que les écorces battues, appelées TAPA dans les îles du Pacifique.
Collectionner les textiles ethniques possède aussi l’avantage d’être moins exposé aux copies et autres fraudes que dans d’autres formes de production des Arts Premiers, comme les masques et les sculptures. La certitude d’être en présence de pièces authentiques est plus facile à établir. Le raphia possède, de son côté, une qualité très intéressante : il n’a pas d’ennemis comparables aux mites qui sont un fléau pour les collections de textiles en laine comme les tapis, ce qui est très rassurant pour le collectionneur !