« Un regard neuf sur le monde » exposition photographique de Timothé Garby-Escobar 3/09 > 6/10 vernissage à 18h le 3/09

MERCREDI-JEUDI-SAMEDI 15h > 19h
« Lorsque je suis parti me balader avec Timothé autour du Refuge des Rajas en Aubrac, j’ai été frappé par sa manière de photographier, à l’antipode de la mienne qui construis mon image dans ma tête, repère le bon endroit et attends patiemment la bonne lumière pour déclencher. Timothé dégaine sans préavis. Artiste de l’instant présent, il tire à l’instinct pour photographier ce qu’il ressent dès qu’il perçoit son image. Timothé ignore le qu’en dira-t-on et se livre tel qu’il est en déjouant toutes les règles traditionnelles de la photographie, du cadrage et de la lumière. Son école est celle du lâcher-prise.
Le travail qu’il expose ici nous offre un double voyage: ce qu’il a vécu (Extériorité) et ce qu’il en a perçu (Intériorité). Suspendu entre terre et ciel, entre tangible et impalpable, le parapluie coloré de la photo monochrome de Timothé est le passeur tout désigné entre les deux pans de son exposition car tout parapluie permet d’affronter l’extériorité tout en protégeant son intériorité.

EXTERIORITE: par un cadrage toujours interpellant, Timothé plante le décor de son voyage en Aubrac tout en nous identifiant à sa perception du réel.

INTERIORITE: Timothé nous projette sans chichi dans un tout autre voyage. Propulsées de son intérieur, ses images puissantes font jaillir en nous les mêmes interrogations en miroir : qui suis-je, qui est l’autre ? faut-il être plus dans la crainte de l’autre que de la peur de soi ? Le travail de Timothé est au cœur de l’art contemporain et des remises en question qu’il suscite. »
Olivier Föllmi, août 2021

Marcel Henri Soulier, artiste peintre autodidacte, du 20 juillet au 7 août 2021

Du mardi au samedi de 14h30 à 18h
Marcel Henri Soulier, né à Alger en 1958, vous présentera son travail d’une vie.
Vernissage samedi 24 juillet à 18h, suivi d’un concert avec le groupe OSE à 20h.
La peinture ci-dessus est une peinture à l’huile 120cm X 40cm qui s’intitule « Congés payés »
 » Depuis mon adolescence je me dédie à temps plein à la création, je suis indépendant et fasciné par la lumière, les couleurs et leurs associations intégrales.
Je participe régulièrement à des salons, à des expositions individuelles ou en duo avec le sculpteur Roger Peulvey, fusion de couleurs et de matière.
J’ai commencé par le dessin et l’art figuratif.
La nature me passionne avec ses différentes couleurs au gré
des saisons.
J’ai expérimenté la texture ce qui m’a permis de développer
ma technique personnelle, pour créer l’atmosphère dans laquelle je donne vie au sujet.
Je découvre dans la pratique de la peinture à l’huile un moyen de me réaliser et de communiquer.
Les grands formats me donnent une liberté infinie de l’expression recherchée et de ma vision des choses.
Chaque tableau est un début d’aventure et un nouveau défi.
C’est une manière de partager mes idées, mes doutes mais aussi mes convictions.
L’art est un axe où se greffent l’audace, le risque, la liberté. »

Jusqu’à quand ?

Chères amies adhérentes et chers amis adhérents de La Maison du Pont !

Suite aux propos du premier ministre jeudi 10 décembre, oui 2020,
nous avons appris que la culture était à nouveau dans l’interdiction d’exister et jusqu’à quand ?

Et que malheureusement nous devions annuler les récitals prévus avec Laurent Martin les 18, 19 et 20 décembre 2020.

Nous en sommes désolés !

Quand pourrons-nous installer l’exposition de Nicolas Anglade « Le moindre geste » ?
Quand pourrons-nous accrocher l’exposition de Nadine Bourbonnaux « La fin des chemins de traverse » ?
Nous occuper des venues de Dalie Farah, Christian Amblard, Anthony Fardet, ré-ouvrir La Maison du Pont et re-programmer tout ce que nous avions prévu ?

Tout en comprenant qu’il faille agir contre la pandémie, nous sommes dubitatifs quand aux décisions gouvernementales radicales et dévastatrices.

Comment comprendre l’ouverture des églises face à « la mise à l’index » des cinémas, des théâtres, des salles culturelles ?

Les unes seraient-elles mieux protégées que les autres ?

En attendant des réponses à nos questions, nous vous souhaitons une bonne fin d’année, tout d’même, avec l’immense plaisir de vous revoir, en chair et en os, en forme et en bonne santé… Un jour !

Bien à vous,

La Maison du Pont

Comme un p’tit coqu’licot…

DU 4 SEPTEMBRE AU 31 OCTOBRE 2020; exposition photographique sur le thème des coquelicots et des fleurs et elle sera accompagnée de plusieurs événements.
Le photographe s’appelle JACQUES DOUKHAN, il vient du Jura et l’exposition s’intitule « Comme un p’tit coqu’licot ».
– VERNISSAGE VENDREDI 4 SEPTEMBRE 2020 A 19H, EN PRESENCE DU PHOTOGRAPHE.

« Comme un p’tit coqu’licot »
– Le retour en force du coquelicot, c’est déjà rassurant car évocateur de nature moins polluée, moins « round’uppée », de renaissance des sols et donc de la vie avec un grand V.

Mais pour aimer les coquelicots, faut t’être idiot, faut t’être idiot…comme le chantait l’ami Mouloudji, et je suis assurément le plus idiot des coquelicophiles, des coquelicistes, des coquelicaddicts.

Pavophile averti, je me suis livré à toutes sortes d’expériences avec mes chouchous, bravant sans hésiter pluie, vent et brouillard.
Si certains le mangent ou le fument, je préfère, pour ma part, déguster avec les yeux cet irrésistible aimant et utiliser mon appareil photo pour offrir l’éternité à cette fleur éphémère, d’où mon surnom de Monsieur Coquelicot.

Passionné de photo depuis mon plus jeune âge, autrement dit la préhistoire, j’ai bien souvent croisé notre papaver au hasard d’une recherche toute autre, du Jura au Massif Central, de la Provence à l’Algérie et, partout où ces jolies touches rouges ont capté mon regard.

D’autres photos de fleurs accompagneront les coquelicots.

Les photos présentées ici sont montées sur toile coton tendues sur un robuste cadre en bois avec crochet intégré. » Jacques Doukhan

À vos agendas…

– Jusqu’au 16/02/20: Exposition « Mai 68, la révolution et la pub »

– Mercredi 19/02/20 > 28/03/20: L’exposition « Promenons-nous dans les bois, les bois gravés de François Angeli »
rend hommage au travail de graveur de l’un des principaux illustrateurs des textes d’Henri Pourrat.
Il y a 100 ans, Henri Pourrat écrivait Gaspard des Montagnes, son célèbre roman, histoire aux cent histoires, prix littéraire du Figaro en 1921 et grand prix du roman de l’Académie Française en 1931.

– Samedi 22 février, 17h30: Vernissage de l’exposition « Promenons-nous dans les bois, les bois gravés de François Angéli » en présence de l’équipe qui l’a conçue et réalisée.

– Samedi 22 février, 19h: Veillée lecture et musique de Gaspard des Montagnes par la compagnie l’EnVolante. 2 comédiens, Marie Aubert et Lionel Ales et un musicien multi-instrumentiste Mathieu Pignol.
Cette veillée sera entrecoupée d’un entracte ou nous mangerons ensemble les produits que chacun aura apporté.

– Mercredi 26 février, 14h: Ateliers, gravure pour les plus de 11 ans à La Maison du Pont avec Ben Quêne directeur de la Manufacture d’Images à Ambert, illustration de Gaspard (dessin/peinture) pour les 3-11 ans à ALSH La Source à Arconsat avec Denise Vigny et Isabelle Piat des Amis d’Henri Pourrat.

– Jeudi 12 mars, 20h: Projection du film de Jacques Meny « Une journée dans la vie d’Henri Pourrat », suivie d’une causerie d’Isabelle Piat, commissaire d’expositions sur Henri Pourrat.

– Dimanche 15 mars, 10h30: 2ème « Repartage matutinal »

– Samedi 21 mars, 15h: « Troc vêtements »

– Mardi 24 mars, 20h: Projection du documentaire « Le temps des forêts » de François Xavier Drouet. (Avec le réseau Alternatives forestières)

– Samedi 28 mars, 20h: Soirée « Musique au Pont », chacune, chacun venant avec son instrument et/ou ses cordes vocales, sans chichi et sans prétention…

– Samedi 4 avril, 17h30: Inauguration festive de La Maison du Pont

– Samedi 4 avril, 17h30: « Comme un p’tit coqu’licot » vernissage de l’exposition photographique de Jacques Doukhan
04/04/20 > 30/05/20

– Lundi 6 avril, 20h: à Thiers, La Forêt par Claudy Combe, ingénieur forestier, Espace, salle Copernic,un rendez-vous du Kiosque, dans la continuité des bois gravés…

Exposition « Mai 68, la révolution et la pub »

Jusqu’au 16 février 2020.
Cette exposition concerne mai 68 et un jeune photo reporter
décédé au Cambodge à l’âge de 30 ans, le 5 avril 1970,
il y a 50ans, il s’appelait Gilles Caron.
Après avoir couvert la guerre des 6 jours, le Biafra, le Vietnam, mai 68, Prague, l’Irlande du Nord, il nous laissait des photographies
dont certaines sont devenues des icônes.
À ses photos, nous avons voulu associer des affiches publicitaires
montrant comment la société était représentée à l’époque.
Les photos noir et blanc des étudiants et ouvriers en révolte
contrastant avec ce modèle de société
de consommation « haut en couleurs » !
Où il nous était conseillé de fumer, d’être de vrais hommes,
tout en buvant de la bière et en roulant à 150km/h…
Au total il y a 30 posters imprimés d’après les photos N&B de Gilles Caron et 50 publicités couleurs découpées dans des magazines de l’époque.

– Dernière nouvelle, mercredi 29/01/20, Mariana Otelo sort un film sur Gilles Caron « Histoire d’un regard » et vous pouvez écouter son interview;
https://www.franceculture.fr/emissions/linvite-culture/invite-culture-des-matins-du-samedi-2-du-samedi-25-janvier-2020